Il y a quelque temps, environ un an et demi si je ne me trompe pas, j’avais écrit un article qui avait fait beaucoup réagir : Travail et mère, deux mots qui s’accordent vraiment ?
Je me souviens que j’étais encore à la maison à m’occuper de mon fils, le diagnostique de son handicap n’avait pas encore été posé. Aujourd’hui la situation a bien évolué et je me retrouve de l’autre côté, c’est-à- dire une maman qui travaille avec en plus la difficulté d’un enfant différent.

Je vous rassure mon point de vue n’a pas tant changé que ça et je trouve toujours inapproprié d’opposer les deux, d’être dans l’incompréhension et le jugement des deux côtés. Bien au contraire, aucune situation n’est immuable et il arrive que celle-ci change. Et ne l’oubliez pas : un métier à lui tout seul ne peut définir la valeur d’une personne.
Il n’y a qu’une seule chose sûre dans tout cela, c’est que la maternité bouleverse profondément notre façon de penser. De ce fait, l’oeil que l’on porte sur le travail n’est plus vraiment le même. Beaucoup n’hésitent pas à changer de voie ou à revoir leur façon de travailler, sans oublier celles qui se démènent à la maison pour faire tourner un foyer et dont les efforts quotidiens ne sont que très peu reconnus.
Tout simplement je voulais partager mon expérience, pour libérer la parole de certaines, ou pour que d’autres se sentent moins seules.
J’ai donc repris le travail il y a environ un an ( j’avais d’ailleurs écrit un article sur comment gérer la séparation avec son bébé).
Dans un premier temps, je vais être honnête et vous dire que ça fait quand même du bien d’être stimulée mentalement, de sortir des couches et des petits pots. J’ai eu cette impression de retrouver une place et d’être à nouveau quelqu’un en travaillant. C’est totalement absurde mais la société est telle, qu’elle nous conditionne toujours dans ce sens. Si l’on ne rentre pas dans des cases bien prédéfinies, nous ne nous sentons pas acceptés par celle-ci.
Pourtant lorsque j’étais à la maison je ne valais pas moins, j’étais la même personne. C’est surtout le regard des gens qui change à votre contact. Vous savez, ceux qui baissent les yeux quand vous leur dites que vous voulez vous occuper de votre enfant, ceux qui vous posent la fameuse question tu ne t’ennuies pas trop à la maison ? Ces personnes qui pensent que vous êtes une décérébrée sans importance. Là ils recommencent à vous parler, vous demander ce que vous faites dans votre travail, etc…
On ne va pas se mentir, c’est super de se lancer à nouveau des challenges au travail, encore faut-il que la vie de mère n’empiète pas sur le travail. Je ne parle pas forcément pour moi mais combien de femmes sont mises de côté, n’obtiennent pas la promotion méritée ou n’évoluent pas car elles ne sont pas autant disponibles que des personnes sans enfants (ou aussi car elles sont tout simplement des femmes car ce phénomène n’est pas tout à fait le même chez les pères, mais ceci vaudrait un autre article vu tout ce qu’il y a à dire sur le sujet).
La mère est alors tiraillée, comme si elle devait inlassablement faire un choix entre sa vie de femme et sa vie de maman. C’est quelque chose qui me met hors de moi car en plus, le choix effectué ne semble jamais être le bon aux yeux de cette société. Les femmes au foyer sont soient des fainéantes ou des bonnes à rien idiotes, celles qui travaillent n’aiment pas assez leurs enfants. Bref on ne s’en sort jamais.
Moi-même j’avais l’impression de rater quelque chose avec mon fils après avoir passé 18 mois non-stop avec lui. Ces jours où je finis un peu plus tard et que j’ai dû le voir une heure dans toute la journée. Pour moi ce n’était pas toujours facile à avaler, comme si on m’enlevait un peu mon rôle de mère.
Cependant en ce qui me concerne, je pense avoir de la chance car mon employeur est compréhensif et on dispose d’assez de flexibilité en cas d’un rendez-vous ou d’un enfant malade. Je ne suis vraiment pas à plaindre.
La meilleure option dans mon cas a été le 80 pour cent. Je comprends que cela ne soit pas la solution pour tout le monde. Cela permet aussi de simplifier le mode de garde.
Ah le mode de garde, la question à un million. Il y a plusieurs possibilités selon les âges : la nounou, la crèche, ou s’ils sont plus grands il y a l’école et le périscolaire mais concrètement, qui finit le boulot à 16h30 ou 17h pour aller récupérer les enfants ? Pas tout le monde ne peut se le permettre, et cela peut devenir un véritable casse tête. On ne parle même pas des grèves, fermetures, et autres imprévus. On passe aussi sur le fait qu’il existe bel et bien des solutions mais que celles-ci peuvent avoir un coût qui n’est pas accessible à tous. On va aussi revenir me dire comme sur le dernier article que c’est moi qui ne fait pas assez d’effort et que quand on veut on peut, qu’il existe des aides (ça c’est la théorie).
C’est bien beau mais déjà à partir de 3 ans, c’est fini l’aide pour garder les enfants. Les parents avec des horaires inhabituels payent plus chers et il existe bien d’autres situations difficiles. Parfois cela demande une organisation en béton avec un enfant qui a une crèche à l’autre bout de la ville, le deuxième a la nounou d’un autre côté et il faut déposer le troisième à son école qui est encore à un autre endroit. Et après on vous dit à 8h30 au boulot que vous avez l’air fatigué.
Ensuite il y a des cas extraordinaires pour des enfants extraordinaires qui ne rentrent pas dans les cases, qui ne peuvent être gardés de manière traditionnelle. Et là, comment dire, avoir une activité relève du parcours du combattant.
Il a des petits temps de crèche (2 fois 2heures par semaine) mais aussi une nounou à domicile. Pourquoi à domicile ? Je ne peux le mettre chez une assistante maternelle qui aurait plusieurs enfants car il faut l’emmener à divers rendez-vous. Nous nous sommes arrangés avec le papa pour travailler sur 4 jours en décalé pour que nous l’ayons le reste du temps mais à quel prix ? Clairement le couple est sacrifié, oublié.
Nous avons un seul jour en commun : le dimanche. Et encore c’est jour du ménage, parfois des courses car lorsque l’un des deux est seul avec lui il demande une attention permanente. Sachez que le quotidien est déjà fatiguant avec un enfant qui n’est pas handicapé, alors imaginez quand votre enfant l’est.
De l’extérieur, tout semble se dérouler de manière fluide, comme les rouages d’une horloge. Grosse erreur, vous ne savez pas que ce sont des démarches administratives sans arrêt, se heurter à des murs, baisser les bras, parfois de la dépression, des rendez-vous quotidiens, des appels téléphoniques interminables, des déceptions, réfléchir au moindre détail quand on doit se rendre chez quelqu’un. Le moindre petit tracas peut devenir une montagne.
Pourquoi ne pas arrêter dans ce cas là ? Cela peut paraitre paradoxal pour certains mais c’est un peu comme une bouffée d’oxygène de travailler et de voir autre chose que le handicap et tout un tas de diminutifs que tous les parents dans ce cas là connaissent : MDPH, EEAP, IME AAEH, AESH, AJPP….
Alors voila, j’en arrive à la même conclusion : je n’ai toujours pas de solution. Je pense ne pas me tromper en disant que nous parents, nous faisons au mieux pour nos enfants, on s’adapte tout simplement. Rien n’est réellement facile mais au moins, vous pouvez vous dire que ce n’est que temporaire, vos enfants grandiront et ça ira mieux. Et là ça sera votre moment.
Je n’aurais qu’une chose à dire : écoutez-vous dans la mesure du possible. Changer de voie est réalisable, s’arrêter l’est aussi. Ne culpabilisez pas à travailler. Je ne dis pas que c’est facile, mais essayer de faire ce qui est le mieux pour vous et vos enfants. N’oubliez jamais non plus que vous n’êtes pas seules dans cette situation.

CéciliAcidulée
4 mars 2019 at 9 h 17 minC’est un joli billet plein de bon sens Clarisse. Tu as raison, nous faisons ce que nous pouvons avec les moyens dont nous disposons et tant pis si la société se plaît à nous ranger dans des cases !
lesdelicesdeframboise
15 mars 2019 at 13 h 47 minJe ne pouvais pas dire mieux 😀
Bises à toi !
Soa
4 mars 2019 at 9 h 48 minJe suis d’accord à 100% avec ta conclusion ! S’écouter, se faire confiance et arrêter de culpabiliser !
lesdelicesdeframboise
15 mars 2019 at 13 h 48 minC’est ça, parfois c’est plus facile à dire qu’à faire par contre!
Charlotte - Enfance Joyeuse
4 mars 2019 at 10 h 04 minUn très bel article. La conclusion dit tout à mes yeux. Il est important de s’écouter soi. Dans tous les cas, quand on fait au mieux, n’est ce pas suffisant ?
Merci pour ce joli billet.
lesdelicesdeframboise
15 mars 2019 at 13 h 49 minOui au final c’est le plus important, et comme tu dis tant qu’on fait a mieux c’est déjà suffisant !
bises
Picou
4 mars 2019 at 10 h 44 minÉvidemment… la fameuse quadrature du cercle! Il n’existe pas d’idéal en la matière puisque c’est idéal dépend d’une personne à l’autre en fonction de son environnement et de ses propres enfants. Pour ma part depuis que je suis en recherche d’emploi je suis aussi à la recherche de la meilleure solution qui me permettrait de protéger ma vie de famille tout en m’épanouissant… je pense que le 80 % correspond en tout cas pour moi à la meilleure solution, mais c’est aussi un Graal qui n’est pas facile à trouver. Comme tu le fais remarquer je crois qu’il n’existe pas de solution unique et qu’on est toujours obligé de faire une concession d’un côté ou de l’autre – encore plus évidemment dans un cas comme le tien ou des difficultés se greffe sur cette situation déjà banalement commune…
lesdelicesdeframboise
15 mars 2019 at 14 h 08 minJe pense aussi que le 80% est un bon compromis mais toutes les entreprises ne l’acceptent pas et il faut aussi pouvoir suivre financièrement ! Tu as très bien décrit la situation, l’idéal varie selon la situation mais on devrait pouvoir trouver un équilibre sans avoir sans cesse à se battre ou culpabiliser ! Bref ce n’est pas simple et les mentalités n’évoluent pas tellement sur le sujet !
3 kleine grenouilles
4 mars 2019 at 11 h 17 minMerci pour ton article ! C’est certain que c’est difficile de travailler en ayant des enfants en bas-âge, encore plus quand on a un enfant différent.
Nous avons la chance d’avoir une crèche exceptionnelle à côté de chez nous dans laquelle notre petite est très bien prise en charge par les éducatrices et la directrice qui sont très engagées pour son développement. Par contre, au travail, c’est moins rose. J’ai dû réduire à 30% car ma chef n’est absolument pas compréhensive.
lesdelicesdeframboise
15 mars 2019 at 14 h 09 minC’est chouette pour la crèche, quand on sait que nos enfants sont bien entourés c’est encore mieux ! C’est dommage pour le travail si c’est une situation subie, d’autant plus que si c’est une femme elle devait en principe comprendre un peu mieux les difficultés !
elisa
4 mars 2019 at 11 h 40 minah la la l’éternel problème…faut dire que c’est un cercle sans fin 🙁 et les boîtes surtout ne font pas assez d’effort pour aider à concilier. Au contraire la plupart du temps on dirait que si tu as fais un enfant c’est pour les faire ch***. Quand je vois que je suis dans un boulot pourri et payé que dalle juste pour avoir la possibilité d’aller chercher mon fils à la crèche…et même eux m’ont sorti que je pouvais pas évoluer « tu comprends tu es maman, c’est prenant le poste au dessus…. ». bref je sais pas quand ça changera mais pas maintenant en tout cas.
lesdelicesdeframboise
15 mars 2019 at 13 h 58 minJ’espère qu’un jour ça changera ! Comme toi j’ai mis ma carrière de côté alors que pourtant j’avais un avenir prometteur, j’ai fait des études brillantes et j’ai un travail clairement en dessous de mes compétences et pas très bien payé (sachant qu’en plus je suis à 80pr cent donc voila je vais pas m’enrichir) ! Bref c’est pas simple, et quand tu es enceinte tu es clairement mise de côté ou alors ou t’en demandes encore plus alors que physiquement ça ne suit pas !
Elisa
4 mars 2019 at 12 h 45 minet sans parler du parent solo dont je fais partie…et moi, j’ai de la « chance » car je m’entends bien avec le papa mais pour ceux.celles (en majorité) qui doivent s’en sortir seul.e pour tout, bonne m…
lesdelicesdeframboise
15 mars 2019 at 13 h 54 minOh oui j’imagine les difficultés que ça doit être car quand on est deux, on peut se reposer sur l’autre alors que quand on est parent solo, on ne peut que compter sur soi ! Rien n’est fait pour faciliter en plus, alors bon courage à vous !
Allychachoo - Famille en chantier
4 mars 2019 at 13 h 46 minTon article me touche beaucoup, et il me parle énormément… Je suis au chômage depuis la fin de mon congé maternité, et clairement ça ne me convient pas. J’aimerais tellement reprendre le travail, mais… mais comment gérer avec mes 3 enfants, surtout l’emploi du temps très chargé de mon aîné, les démarches administratives incessantes dont tu parles si bien, cette énorme charge mentale du handicap dont on n’a pas idée avant d’y être confronté… Pourtant je sais que mon équilibre serait dans la reprise d’un travail épanouissant, mais c’est si compliqué…
lesdelicesdeframboise
15 mars 2019 at 13 h 53 minMon équilibre est fragile mais je sais que sans le boulot, je serais viré étouffée par ce quotidien pensant ! Je te comprends, et avec 3 ce n’est pas simple, encore plus avec le handicap qui s’y rajoute ! Tes deux derniers sont encore petits, peut-être que par la suite tu pourras retourner au travail même en temps réduit, en tout cas si c’est ce que tu veux je te le souhaite. Rien n’est simple alors je te dis bon courage et je t’embrasse !
MumChérie
4 mars 2019 at 14 h 50 minTrès bel article, merci pour ces mots… De mon côté, je travaille, j’organise et réorganise sans cesse mon emploi du temps, pour me sentir à la fois épanouie professionnellement, c’est important pour moi, et heureuse de passer autant de temps que possible avec mes enfants. Et effectivement, de l’extérieur, tout roule, mais quelle course, combien de sacrifices… sans jamais aucun regret pourtant, et j’essaie de profiter entièrement de chaque moment, en faisant fi de l’opinion des autres, quelle qu’elle soit…
Bises
Workingmutti
5 mars 2019 at 9 h 59 min200% d’accord avec toi, avec toutes ces injonctions paradoxales. Le boulot est souvent une bouffée d’oxygène si tout se passe bien. Mais j’ai l’impression qu’il y’a de plus en plus d’attentes qui pèsent sur les salariés. Et la culture du présentéisme n’arrange rien …
lesdelicesdeframboise
15 mars 2019 at 13 h 59 minOui je suis d’accord avec toi ! Et même si je peux poser facilement des jours ou partir plus tôt, j’ai toujours cette culpabilité qui arrive car on a l’impression que c’est mal vu ou que l’on va être mis de côté si on est moins performant que les autres !
Maman sur le fil
6 mars 2019 at 10 h 01 minHeureuse de te relire par ici… Malheureusement, je crois que l’équilibre idéal n’existe pas… Les reconversions sont possibles mais n’apportent pas toujours ce qui était attendu. La France n’est pas le pays le plus évolué en matière d’équilibre vie pro – vie perso. Bravo pour votre courage, pour le temps que vous consacrez pour aider au mieux votre petit bonhomme extraordinaire. Je ne sais que trop que cela peut devenir pire qu’un parcours du combattant. Plein de pensées !
lesdelicesdeframboise
15 mars 2019 at 14 h 05 minJe suis contente de te revoir par ici ! Je sais que toi tu me comprends vu que tu as eu ce cheminement avec la reconversion ! Si j’ai bien compris tu n’es pas encore totalement satisfaite de ton équilibre en plus ! Ce n’est vraiment pas simple !
On fait au mieux pour notre fils, à la rentrée ça devrait être un peu plus simple car il va avoir une place dans un institut pour 3 jours par semaine, ses soins seront groupés au moins !
Virginie Neleditesapersonne
6 mars 2019 at 13 h 11 minComme toujours tes mots tombent justes ! Les mères culpabilisent quelques soient leurs décisions et clairement la société ne les aide pas… Je ne sais plus où j’ai lu cette phrase très juste : nous vivons dans une société où les mères devraient travailler comme si elles n’avaient pas d’enfant et éléver leurs enfants comme si elles ne travaillaient pas…
J’essaie de me rappeler que les enfants seront heureux s’ils voient leurs parents épanouis, et d’admettre qu’il faut donc être un peu égoïste finalement 🙂
lesdelicesdeframboise
15 mars 2019 at 14 h 12 minElle est très juste cette phrase mais triste en même temps ! On ne devrait pas avoir à cloisonner nos deux rôles !
Tu as tout à fait raison, c’est horrible dans un sens mais il faut être un peu égoïste même si ça ne se fait pas sans culpabilité ! Pour se préserver c’est essentiel !
Bises à toi !
Esthel
8 mars 2019 at 21 h 56 minTout à fait, travailler avec des enfants reste un casse tête pour beaucoup d’entre nous. Il est temps que le monde du travail évolue vraiment… Je me faisais la réflexion dernièrement qu’on n’a plus l’impression de délaisser « notre » place au foyer en allant travailler mais que le monde du travail continue de fonctionner comme si c’était le cas. A quand une prise en compte de nouvelles manières de travailler ?
lesdelicesdeframboise
15 mars 2019 at 14 h 14 minJ’espère qu’un jour les mentalités évolueront mais ce n’est pas pour tout de suite à mon avis ! Il faudrait que chaque parent puisse trouver son équilibre sans culpabiliser ou se battre constamment !
lex
11 mars 2019 at 22 h 26 minJe suis directrice d’établissement. Ainsi, j’emploie des femmes, qui bien sûr tombent enceintes. Je peux vous dire que c’est très compliqué à gérer, ça désorganise le travail, il faut trouver un remplacement, ce n’est jamais simple. J’ai beau être une femme, j’ai aussi un établissement à gérer. Il est bien plus facile d’avoir des employés hommes… Après la grossesse, il y a les enfants malades et autres joies. Je comprends bien que ce n’est pas simple pour les femmes, mais que pouvons nous faire? Beaucoup de femmes gèrent carrière et enfants.. Je pense aussi que les femmes font des enfants trop tôt, c’est aussi un de vos principaux handicaps. Vous n’avez pas entamées une carrière d’au moins 5 ans avant de faire un enfant. Pourtant vous aviez du temps devant vous…
Bebesublime
12 avril 2019 at 13 h 16 minNos enfants mais surtout nos bébés méritent toujours ce qu’il y a de meilleur, une chose pas facile en tout cas!
lesdelicesdeframboise
2 mai 2019 at 11 h 47 minJe suis bien d’accord avec ça !
Mon Joli Coeur
16 mai 2019 at 10 h 05 minCoucou !
Ça fait un sacré moment que je ne suis pas passée par ici, il faut dire que j’ai délaissé mon blog ces derniers mois… Mais j’ai l’intention de le reprendre en main (il faut juste de la motivation !) 🙂 C’est un plaisir que de lire à nouveau tes articles. Après 4 ans passés à la maison en tant que maman au foyer, la question de la reprise du travail se pose de plus en plus car ma petite va entrer à l’école au mois de septembre. Cela va être un gros chamboulement dans notre organisation et ça m’inquiète un peu. Trouver une nounou va être difficile pour nous car mon mari a un emploi avec des horaires décalées, son planning et ses jours de repos changent toutes les semaines… Il parait que trouver un mode de garde pour le week-end est très difficile et cher ! Et puis nous avons fait des calculs et aller bosser pour gagner le SMIC et donner 700€ à une nounou ben ce n’est pas motivant du tout… Il faudrait que je trouve un emploi à temps partiel ou à domicile (ce serait l’idéal) qui me permette d’aller chercher les enfants après le périscolaire, mais le graal va sans doute être difficile à trouver ^^